Emprunt à l'Utopie....
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Vertigineux abandon de l'âme près de ton armure,
Je dépose les sanglots de l'aurore près de l'idôlatré visage.
Silence, Oh Silence...cloître de mes Utopies et de mes failles,
Je pleure...La larme épouse à présent la trop éclatante rosée.
Ces maux...Ces maux....
Ces maux qui ne se laissent jamais atteindre par les mots...
Peut être est-ce simplement parce que je sais ce à quoi tu aspires?
Ce qui te fait frêmir et vouloir...pouvoir et désirer
Mais pas ce qui te fait aimer...
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